15 croyances contraires au bonheur

« Ce que l’on fait provient de ce que nous croyons. »

Les gens matures ont des principes et des croyances qui contribuent à leur bonheur. Hélas, plusieurs personnes immatures sont malheureuses à cause de fausses croyances. Voici 15 exemples de ces croyances contraires au bonheur :

Dessin d’un buste dont la tête est charchée de lettres.

© Nevit Dilmen, CC BY-SA 3.0 via Wikimedia

Croyances qui nous empêchent d’être heureux :

  1. Le monde est un endroit injuste et cruel.
  2. Le travail est nécessairement une corvée.
  3. Le bonheur est principalement le résultat de la chance.
  4. Maintenant, je suis trop vieux pour améliorer ma vie et être enfin heureux.
  5. La vie amoureuse devient avec le temps inévitablement monotone.
  6. L’accumulation des plaisirs physiques est la principale clef du bonheur.
  7. Ma valeur personnelle est complètement déterminée par ce que j’ai accompli.
  8. Lorsque je n’ai pas ce que je désire, il est inévitable que je sois malheureux.
  9. Mon passé détermine mon comportement actuel et je serai toujours victime de celui-ci.
  10. Une fois que vous êtes adulte, la vie n’est plus amusante, il n’y a que des responsabilités.
  11. Il est possible d’être heureux sans se vouer à un idéal ou à une cause qui nous motive profondément.
  12. Mon malheur est entièrement causé par des circonstances extérieures sur lesquelles je n’ai aucun contrôle.
  13. Certaines personnes sont injustes et méchantes. Et c’est mon devoir de faire en sorte qu’elles soient blâmées sévèrement.
  14. Je contribue à mon mieux-être en m’inquiétant et en réfléchissant constamment aux malheurs que la vie pourrait m’apporter.
  15. Je ne peux pas penser à être heureux avant d’avoir des conditions favorables, par exemple : avoir terminé mes études, être marié, avoir la promotion que je convoite, avoir un certain salaire, vivre dans une grande maison, etc.

« La sensation d’être heureux ou malheureux dépend rarement de notre état dans l’absolu. Elle dépend plutôt de notre perception de la situation et de notre capacité à nous satisfaire de ce que nous avons. »
Dalaï Lama