20 paroles de Bouddha sur la sagesse

  1. L’homme apaisé, sans haine ni peur, mérite d’être appelé sage.
  2. Même la mort ne doit pas être craint par celui qui a vécu sagement.
  3. Tous les êtres vivants sont Bouddha et ont en eux sagesse et vertus.
  4. Dans toutes les directions, l’homme sage répand le parfum de sa vertu.
  5. Celui qui est maître de lui-même est plus grand que celui qui est le maître du monde.
  6. C’est vous qui devez faire l’effort. Les sages du passé montrent seulement le chemin. (Dhammapada)
  7. Les sages façonnent la parole avec leur pensée, la tamisant comme on tamise le grain à travers un tamis.
  8. Il n’y a pas de lieux sacrés ni de personnes sacrées, il n’y a que des instants sacrés, des instants de sagesse.
  9. Le paysan laboure les champs, l’armurier façonne la flèche, le charpentier courbe le bois, mais le sage se perfectionne lui-même.
  10. J’appelle sage celui qui, tout innocent qu’il est, supporte les injures et les coups avec une patience égale à sa force. (Dhammapada)
  11. Ne désespère pas du bien en te croyant desservi. Une goutte, presque rien et le seau est rempli. En accumulant les petits biens, le sage en est rempli. (Dhammapada)
  12. Commence par t’établir toi-même dans le droit chemin, puis tu pourras conseiller les autres. Que l’homme sage ne donne aucune occasion de reproches. (Dhammapada)
  13. Celui qui boit à la source de l’Enseignement vit heureux dans la sérénité de l’esprit. Toujours le sage se réjouit de la Doctrine transmise par les excellents. (Dhammapada)
  14. La méditation apporte la sagesse ; le manque de méditation laisse l’ignorance. Sachez bien ce qui vous fait avancer et ce qui vous retient, et choisissez le chemin qui mène à la sagesse.
  15. Les constructeurs d’aqueducs conduisent l’eau à leur gré; ceux qui fabriquent les flèches les façonnent; les charpentiers tournent le bois, les sages se contrôlent eux-mêmes. (Dhammapada Sutta)
  16. Celui qui se livre à des méditations claires trouve rapidement la joie dans tout ce qui est bon. Il voit que les richesses et la beauté sont impermanentes et que la sagesse est le plus précieux des joyaux.
  17. Il y a quatre pensées illimitées : l’amour, la compassion, la joie et l’égalité d’âme. Celui qui cherche son bonheur doit arracher de lui-même la flèche de ses lamentations, de ses plaintes, de ses chagrins.
  18. Tout comme les trésors sont découverts sur la terre, la vertu apparaît dans les bonnes actions, et la sagesse dans un esprit pur et paisible. Pour marcher en toute sécurité dans le labyrinthe de la vie humaine, il faut la lumière de la sagesse et la direction de la vertu.
  19. Par sa diligence, sa vigilance, sa maîtrise de soi, l’homme sage doit se faire une île que les flots ne pourront jamais submerger. Les insensés par leur manque de sagesse, s’abandonnent à la négligence. Le sage garde la vigilance comme la richesse la plus précieuse. (Dhammapada)
  20. Il ne faut pas croire une chose simplement parce qu’on l’entend dire ; ni croire aux traditions car elles nous ont été transmises depuis l’Antiquité ; ni croire aux rumeurs en tant que telles ; ni aux écrits des sages, parce que les sages les ont écrits ; ni aux imaginations inspirées, pensons-nous par un Déva (inspiration supposée spirituelle) ; ni croire aux conclusions tirées de quelques suppositions faites par nous au hasard ; ni croire une chose parce qu’elle semble devoir être vraie par analogie ; ni croire sur la simple autorité de nos instructeurs et maîtres. Mais nous devons croire la chose écrite ou parlée, ou la doctrine, si elle est corroborée par notre propre raison et notre propre conscience. (Doctrine secrète)

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