350 citations de Bouddha qui illumineront votre vie.
- En cultivant l’amour, on aide chaque âme dans l’univers.
- Laissons notre amour infini se répandre dans le monde entier, au-dessus, en dessous, et dans chaque direction. (Metta Sutta, Sutta Nipâta)
- Tout comme une mère protégerait son unique enfant au péril de sa propre vie, cultive un cœur sans limites envers tous les êtres. (Metta Sutta)
- Vaincs la colère par l’amour, le mal par le bien. Conquiers l’avare par la générosité et le menteur par la vérité. (Dhamma-Cakkappavattana-Sutta, Section XVII)
- Certains jours, nous nous sentons tels des étrangers dans ce monde. Mais lorsque notre cœur s’ouvre, nous comprenons que notre place est précisément ici.
- Ne prends pas comme amis ceux qui font le mal ou ceux qui sont bas. Fais ta compagnie des bons, recherche l’amitié des meilleurs parmi les hommes. (Dhammapada)
- Ceux qui apprennent à pratiquer la loi doivent s’appliquer avec énergie à l’amour et à la compassion et surtout ils doivent faire des dons. Les avantages du don sont fort grands. (Dhammapada IX)
- Laisse grandir en toi un amour sans bornes de toutes les créatures. Laisse ton amour couler et sillonner l’Univers, dans toute sa hauteur, sa profondeur et sa grandeur, un amour sans limites, sans haine et sans hostilité. (Nipatta Suttra)
- L’amitié, la compassion, la gaieté clarifient et apaisent le mental ; ce comportement doit s’exercer indifféremment dans le bonheur et le malheur, vis-à-vis de ce qui nous fait du bien comme vis-à-vis de ce qui nous fait mal. (Yoga Suttra de Patanjali
- Que tous les êtres soient remplis de joie et de paix.
- Le plaisir se ramasse, la joie se cueille, et le bonheur se cultive.
- Il n’y a pas de chemin vers le bonheur. Le bonheur est le chemin.
- Le bonheur est la lumière qui brille à l’intérieur de vous. (Sutta Nipâta)
- Le bonheur est né de l’altruisme et le malheur de l’égoïsme. (Suttra du diamant)
- Le bonheur ne vient pas d’acquérir, mais de lâcher prise. (Dhammapada, Verset 290)
- Mettez votre coeur à faire le bien. Faites-le encore et encore, et vous serez rempli de joie.
- La santé est le plus grand gain, le contentement est la plus grande richesse. (Dhammapada)
- Le bonheur ne vient pas de ce que nous obtenons, mais de ce que nous donnons. (Sutta Nipâta)
- La seule voie vers le bonheur est d’apprendre à être heureux avec ce que vous avez. (Sutta Nipâta)
- Le bonheur vient quand votre travail et vos paroles sont bénéfiques pour vous-même et pour les autres.
- Si, avec un mental pur, quelqu’un parle ou agit, alors le bonheur le suit comme l’ombre qui jamais ne le quitte.
- Tout bonheur en ce monde vient de l’ouverture aux autres ; toute souffrance vient de l’enfermement en soi-même.
- Le bonheur n’est pas quelque chose qui est prêt-à-porter. Il vient de vos propres actions. (Dhammapada, Verset 16)
- Celui qui cherche son bonheur doit arracher de lui-même la flèche de ses lamentations, de ses plaintes, de ses chagrins.
- Celui qui donne est heureux, celui qui sert est heureux, celui qui garde la gentillesse en son coeur est heureux. (Sutta Nipâta, 114)
- Être en bonne santé est la plus grande des chances. Se satisfaire de ce que l’on a la plus grande des richesses. (Dhammapada, 204)
- Le véritable bonheur ne dépend d’aucun être, d’aucun objet extérieur. Il ne dépend que de nous. (Dhammapada, chapitre 20, verset 15)
- Le bonheur ne peut être trouvé à travers une quête extérieure, il ne peut être trouvé qu’à l’intérieur. (Dhammapada, chapitre 21, verset 11)
- À l’aide de la méditation, de la persévérance et d’une infatigable énergie, les sages atteignent le Nirvâna, la béatitude suprême. (Dhammapada)
- Une seule bougie peut en allumer des milliers, et la durée de vie de la bougie n’en sera pas écourtée. Le bonheur n’est jamais diminué du fait d’être partagé.
- Lorsqu’une personne agit mal elle ne doit pas récidiver ni s’en délecter, car le malheur est un cumul de mal. Lorsqu’une personne agit bien elle doit recommencer et s’en délecter, car le bonheur est un cumul de bien. (Dhammapada)
- Quiconque, en cherchant son propre bonheur, blesse les créatures qui désirent le bonheur, ne l’obtiendra pas dans l’autre monde. Quiconque, en cherchant son propre bonheur, ne blesse pas les créatures qui désirent le bonheur, l’obtiendra dans l’autre monde. (Dhamma-Cakkappavattana-Sutta, Section X)
- Attends tout de toi-même. (Suttra du diamant)
- Sous le ciel, il n’y a rien qui soit stable, rien qui ne dure à jamais.
- Il n’existe rien de constant si ce n’est le changement. (Dhammapada)
- Entre le ciel et la terre, il n’y a qu’une demeure temporaire. (Suttra du diamant)
- Le changement n’est jamais douloureux. Seule la résistance au changement est douloureuse.
- Peu parmi les hommes vont à l’autre rive, le reste des humains court çà et là sur cette rive. (Dhammapada)
- Ce que nous cultivons dans nos périodes sereines devient une force que nous engrangeons pour nos périodes de changement.
- L’enseignement est semblable à un radeau qui est fait pour traverser, mais auquel il ne faut pas s’attacher. (Alagaddupama Sutta)
- Si tu ne trouves pas d’ami sage, prêt à cheminer avec toi, résolu, constant, marche seul, comme un roi après une conquête, ou un éléphant dans la forêt.
- Dans la vie, nous ne pouvons échapper au changement ou à la perte. La liberté et le bonheur sont à la mesure de la souplesse et de l’aisance avec lesquelles nous accueillons le changement.
- À leur guise, les constructeurs d’aqueducs dirigent l’eau, les faiseurs de flèches plient l’arc, les charpentiers courbent le bois : c’est d’eux-mêmes que viennent à bout les savants. (Dhammapada)
- Imagine que chaque individu dans l’univers est éveillé, sauf toi. Tous sont tes maîtres et font exactement ce qu’il faut pour t’aider à apprendre la patience, la parfaite sagesse, la parfaite compassion. (Le Petit Manuel du Bouddha de Jack Kornfield, p90)
- À des degrés divers nous sommes tous des aveugles, guidés par des aveugles, qui guidons des aveugles. Et pourquoi un aveugle ne pourrait-il en guider un autre ? Jusqu’au jour où, comme les véritables aveugles, nous réalisons avec émerveillement que l’on peut se diriger seul, guidé par sa lumière intérieure, et que maîtres et enseignements sont de simples points de repère comme les bruits du monde extérieur.
- La colère est un poison pour l’esprit.
- Il est difficile de recevoir des outrages sans se mettre en colère. (Suttra XI)
- Certains ne comprennent pas que nous devons mourir, mais ceux qui le réalisent règlent leurs querelles.
- La colère est comme une pluie torrentielle qui submerge tout sur son passage. (Dhammapada, Verset 223)
- La colère est si mauvaise qu’elle peut jeter une ombre négative sur votre esprit et modifier le tournant de votre vie.
- Rester en colère, c’est comme saisir un charbon ardent avec l’intention de le jeter sur quelqu’un. C’est vous qui vous brûlez.
- La colère ne peut pas être vaincue par la colère. La colère peut seulement être vaincue par l’amour. (Dhammapada, Verset 5)
- Dès l’instant où nous ressentons de la colère, nous avons déjà cessé de chercher la vérité et commencé à nous battre pour nous-mêmes.
- La colère est comme une pierre jetée dans un étang. Les vagues qu’elle crée se répercutent longtemps après que la pierre ait touché le fond.
- La colère ne disparaîtra jamais tant que des pensées de ressentiment seront chères à l’esprit. La colère disparaîtra dès que les pensées de ressentiment seront oubliées.
- Apprenez comme si vous deviez vivre toujours.
- Ne suivez pas mon enseignement aveuglément, éprouvez-le par vous-même.
- Deux choses participent à la connaissance : le silence tranquille et l’intériorité.
- L’ignorance est la racine de tous les maux. (Dhammapada, chapitre 16, verset 1)
- Il est difficile de comprendre la bonne loi aux enseignements multiples. (Suttra XI)
- Mieux vaut une seule journée de clarté et de concentration qu’un siècle entier d’ignorance et de distraction. (Dhammapada)
- Être instruit en science et en art, être discipliné et cultivé, dire des paroles justes. Cela est une grande bénédiction. (Maṅgala Sutta Nipâta, II, 4)
- Un sot a beau demeurer des années en contact avec la science, il ne connaîtra pas plus le goût de la science que la cuiller plongée dans la sauce ne connaît le goût de la sauce. (Dhammapada)
- Seul un être épanoui peut faire du bien.
- Si vous allumez une lampe pour quelqu’un d’autre, elle égaiera aussi votre chemin.
- La générosité apporte la paix intérieure et le bonheur. (Dhammapada, chapitre 3, verset 17)
- Bonne est l’action qui n’amène aucun regret et dont le fruit est accueilli avec joie et sérénité.
- Mettez-vous à la place des autres. Si vous y arrivez, vous ne serez plus capable de faire du mal à autrui.
- La bonté et la compassion pour tous les êtres vivants sont la véritable richesse de la vie. (Sutta Nipâta, 657)
- La compassion est la clé de la compréhension, de la guérison, de l’harmonie et de la libération. (Sutta Nipâta)
- La douceur triomphe sur la colère, la générosité triomphe sur la méchanceté, la vérité triomphe sur la tromperie.
- La compassion peut être développée envers une personne qui vous irrite : c’est ainsi que l’agacement peut également être surmonté.
- En affaires, réinvestis une part de tes profits, garde une part pour ton usage personnel, réserve une part pour ceux qui sont dans le besoin.
- Être charitable, se conduire honnêtement, avoir soin de sa famille, accomplir de bonnes actions. Cela est une grande bénédiction. (Sutta Nipâta, II, 4)
- Générosité, vivre dans la rectitude, assistance à ses proches, actes sans blâme. Voilà quelle est la plus haute protection. (Maṅgala Sutta Nipâta, v.263)
- Enseignez cette triple vérité à tous : un cœur généreux, un discours aimable, une vie de service et de compassion sont les choses qui renouvellent l’humanité.
- Si l’on n’a point de blessure à la main, avec la main on peut prendre le poison. Il est sans action quand il n’y a point de blessure. De même le mal n’a point de prise sur celui qui ne le fait pas. (Suttra IX)
- Qu’on ne fasse point peu de cas du bien, en disant : « Il ne m’en reviendra rien ». L’eau, tombant même goutte à goutte, finit par remplir la cruche. Le bien, fait même petit à petit, finit par remplir l’âme du sage. (Suttra IX)
- Nous sommes formés et modelés par nos pensées. Ceux dont l’esprit est façonné par des pensées désintéressées donnent de la joie lorsqu’ils parlent ou agissent. La joie les suit comme une ombre qui ne les quitte jamais.
- Celui qui, après avoir été négligent, devient vigilant, illumine la terre comme la lune émergeant des nuées. Celui dont les bonnes actions effacent le mal qu’il a fait, illumine la terre comme la lune émergeant des nuées. (Dhamma-Cakkappavattana-Sutta, Section XIII)
- La compassion est la voie de l’unité. (Sutta Nipâta)
- La compassion est l’essence de la vie spirituelle. (Sutta Nipâta)
- Doutez de tout et surtout de ce que je vais vous dire. (Dhammapada)
- La compassion est un trésor pour l’humanité. (Dhammapada, Verset 151)
- Soyez votre propre lampe, votre île, votre refuge. Ne voyez pas de refuge hors de vous-même.
- Ne prenez pas pour vrai, tout ce qui vous est dit, même si ces paroles proviennent d’un maître.
- Ceux qui s’accrochent aux perceptions et aux opinions errent dans le monde en offensant les gens. (Magandiya Suta)
- Ne crois que ce que tu juges toi-même être vrai après avoir été éprouvé à la flamme de ton expérience. Sois toi-même ton propre flambeau.
- Ne croyez pas les individus, fiez-vous aux enseignements ; ne croyez pas les mots, fiez-vous au sens ultime, ne croyez pas l’intellect, fiez-vous à la Sagesse.
- Il ne faut jamais blâmer la croyance des autres, c’est ainsi qu’on ne fait de tort à personne. Il y a même des circonstances où l’on doit honorer en autrui la croyance qu’on ne partage pas. (Dhammapada, IX)
- Ne croyez pas une chose parce que l’opinion générale la croit vraie ou parce qu’on en parle beaucoup. Ne croyez pas une chose sur le seul témoignage d’un des sages de l’Antiquité. Ne croyez pas une chose parce que les probabilités sont en sa faveur, ou parce que l’habitude vous pousse à la croire vraie. Ne croyez pas ce qui provient de votre propre imagination en pensant qu’il s’agit de la révélation d’une puissance supérieure. Ne croyez rien en vous fondant sur la seule autorité de vos maîtres ou des prêtres. Ce que vous aurez vous-mêmes éprouvé, ce dont vous aurez fait l’expérience, et que vous aurez reconnu pour vrai, ce qui vous sera bénéfique à vous, ainsi qu’aux autres, en cela, croyez-y et conformez-y votre conduite. (Suttra Kalama)
- Le désir est la racine de la souffrance, la méditation est la clé de la libération.
- Il est difficile, quand on a vu une chose agréable, de ne pas la désirer. (Suttra XI)
- C’est par le désir que le monde est lié. Par l’assujettissement du désir qu’il est libéré. (Dhammapada)
- Deux montagnes d’or entières ne suffisent pas à combler les désirs d’une seule personne. (Dhammapada)
- Ce ne sont pas nos préférences qui créent des problèmes, mais notre attachement à ces préférences. (Dhammapada)
- Une conscience troublée par les désirs ne peut se libérer ; et une sagesse troublée par l’ignorance ne peut se développer. (Dhammapada Sutta)
- La plupart des hommes oublient que nous mourrons tous un jour. Pour ceux qui y pensent, la lutte est apaisée. (Dhamma-Cakkappavattana-Sutta)
- Celui dont l’esprit n’est pas agité ni troublé par le désir, celui qui est au-delà de bien et du mal, cet homme éveillé ne connaît pas la crainte. (Dhammapada)
- Il n’est point de feu comparable à la passion, de prison comparable à la haine, de filet comparable à l’agitation de l’esprit, de torrent comparable à la convoitise.
- Du désir des sens vient le chagrin, du désir des sens vient la crainte. Si l’on est affranchi du désir des sens, on ne connaît ni le chagrin ni la crainte. De l’avidité vient le chagrin, de l’avidité vient la crainte. Si l’on est affranchi de l’avidité, on ne connaît ni le chagrin ni la crainte. (Dhammapada, Section XVI)
- Conquérez-vous et vous gagnerez des milliers de batailles.
- Mille victoires sur mille ennemis ne valent pas une seule victoire sur soi-même.
- Mieux vaut une journée de courage et d’ardeur qu’un siècle entier de lâcheté et de torpeur. (Dhammapada)
- Le moine qui cultive la vigilance et qui redoute la négligence ne peut plus décliner, il est presque libéré. (Dhammapada)
- Plusieurs ne réalisent pas qu’il faut se maîtriser ici-bas. Pour ceux qui réalisent cela, la querelle s’apaisera. (Dhammapada)
- Par l’effort, l’ardeur, la discipline et le contrôle, que le sage fasse pour lui-même une île qu’aucun flot ne pourra submerger. (Dhammapada)
- L’homme actif, instruit, se conduisant avec pureté et réflexion, continent, vivant selon la Loi, et vigilant, répand un éclat de plus en plus vif. (Dhammapada)
- Grâce à sa détermination, son attention, sa modération et sa maîtrise de lui-même, le sage crée une île qu’aucun raz-de-marée ne saurait submerger. (Dhammapada)
- Les dieux eux-mêmes envient celui dont les sens ont été domptés, comme l’est un cheval par son cavalier, qui s’est débarrassé de tout orgueil et libéré de convoitises.
- Les attentifs s’exercent sur eux-mêmes, à aucune demeure ils ne sont attachés. Comme des cygnes quittent leur étang, ils abandonnent abri après abri. (Dhammapada, 7)
- La négligence est le sentier de la mort. Ceux qui sont vigilants sont délivrés de la naissance et de la mort. Ceux qui sont négligents sont considérés comme déjà morts. (Dhammapada)
- L’ignorant et le sot se complaisent dans la négligence et le manque d’attention. Tandis que le sage considère la présence attentive et consciente comme son bien le plus précieux. (Dhammapada)
- Celui qui est capable de maîtriser fermement la colère comme on maîtrise un attelage de coursiers, celui-là est un véritable conducteur de char, les autres ne font que tenir des rênes. (Dhammapada)
- On souffrira soi-même d’une mauvaise action qu’on aura faite. En ne la faisant point, on se purifiera soi-même. Pur ou impur, c’est par soi-même que chacun l’est ; on ne se purifie point l’un l’autre. (Dhammapada)
- Lorsque, grâce à la vigilance, le savant a cessé d’être négligent, il s’élève alors jusqu’au séjour de la Science ; et, de là, joyeux et sage, du même œil que celui qui est sur une montagne regarde ceux qui sont dans la plaine, il regarde la foule affligée et sotte. (Dhammapada)
- De même que la pluie entre dans une maison dont le chaume est disjoint, ainsi la passion pénètre un esprit non développé. De même que la pluie n’entre pas dans une maison bien couverte de chaume, ainsi la passion ne pénètre pas un esprit bien développé. (Dhammapada)
- On aurait beau, dans une rencontre, vaincre des milliers et des milliers d’hommes : se vaincre soi tout seul est la plus glorieuse des victoires. Mieux vaut se vaincre soi-même que vaincre le reste du monde. L’homme qui s’est dompté lui-même, qui vit dans la continence (Dhammapada 103-104)
- La pureté est l’essence de la vie spirituelle. (Sutta Nipâta)
- Fuir le mal, faire le bien, mais avant tout apaiser son esprit. (Dhammapada)
- Il est diffiEcile de mettre son esprit dans un état de repos complet. (Suttra XI)
- Il est difficile de connaître la vraie nature de l’esprit, de manière à s’instruire dans la voie. (Suttra XI)
- L’esprit instable et dispersé, ignorant la vraie doctrine, aimant la flatterie, ne sera jamais mûr pour la sagesse.
- Celui qui contrôle son esprit est plus fort que celui qui conquiert une ville. (Dhammapada, chapitre 8, verset 4)
- Toutes les expériences sont précédées par l’esprit, ayant l’esprit comme maître, créé par l’esprit. (Dhammapada)
- Il faut que la vie spirituelle comporte une forte dose de bon sens. (Le Petit Manuel du Bouddha de Jack Kornfield)
- Ceux qui suivent le Dharma, la Doctrine bien enseignée, franchissent le domaine de la mort, si difficile à transcender. (Dhammapada)
- Ni père, ni mère, ni aucun proche ne nous fait autant de bien qu’un esprit bien dirigé. (Dhamma-Cakkappavattana-Sutta, La Roue de la Loi)
- Si tu laisses reposer une eau boueuse, elle s’éclaircira. De même, si tu laisses reposer ton esprit troublé, la chose à faire t’apparaîtra clairement.
- Que le sage reste maître de son esprit, car il est subtil et difficile à saisir et il court où il veut. Un esprit contrôlé assure le bonheur. (Dhammapada)
- Tous les états mentaux ont l’esprit pour avant-coureur ; ils ont été créés par l’esprit. Si un homme parle ou agit avec un esprit purifié, le bonheur l’accompagne d’aussi près que son ombre inséparable. « Il m’a vilipendé, il m’a maltraité, il m’a vaincu, il m’a volé ». Chez ceux qui accueillent de telles pensées, la haine ne s’éteint jamais.
11) Citations de Bouddha sur la gentillesse :
- La générosité est la clé de l’abondance. (Sutta Nipâta)
- La gentillesse est la voie de l’illumination. (Sutta Nipâta)
- La gentillesse envers les êtres vivants est la plus haute forme de sagesse. (Sutta Nipâta, 163)
- Le véritable bonheur vient de la gentillesse, de la générosité et de l’amour. (Sutta Nipâta, 143)
- Que personne ne méprise la gentillesse. Une personne gentille dort en paix. Les êtres vivants sont rassurés en sa présence. (Sutta Nipâta, 143)
- Il n’y a pas de feu plus féroce que l’envie et la haine.
- Que nul, par colère ou par haine, ne souhaite du mal à un autre.
- La haine ne cesse pas par la haine, mais seulement par l’amour, c’est la règle éternelle.
- Vivons donc heureusement, sans haïr ceux qui nous haïssent. Seul l’amour dissipe la haine.
- Il n’est pas de feu comme la passion. Il n’est pas de malchance égale à la haine. (Dhammapada, 202)
- Qui libère sa vie de toute avidité, de toute haine et de toute ignorance trouve la véritable paix éternelle. (Dhammapada, 36)
- Si un homme parle ou agit avec un mauvais esprit, la souffrance le suit d‘aussi près que la roue suit le sabot du bœuf tirant le char. (Dhammapada)
- Quiconque agresse un être en quête de bonheur tout en cherchant lui-même le bonheur. Ne le trouvera point après sa dernière heure. (Dhammapada)
- La victoire engendre la haine, car le vaincu ressent de la douleur. Celui qui vit en paix est heureux, sans plus songer ni à la victoire ni à la défaite. (Dhammapada)
- La pureté est la force qui élimine les obstacles sur le chemin de la libération. (Digha Nikaya 27)
- Si tu restes silencieux comme un gong fêlé et qu’il n’y a plus de colère en toi, c’est que tu es déjà libéré. (Dhammapada)
- Lorsque vous réalisez que tout est impermanent, vous vous libérez de la peur et de l’attachement. (Dhammapada, chapitre 20, verset 6)
- Point d’obsessions enfiévrées pour celui qui a traversé. Il s’est affranchi de toute peine, s’est absolument libéré, et s’est délivré de toutes chaînes. (Dhammapada)
- Il n’est pas de détresse pour celui qui a terminé son voyage, qui a abandonné tout souci, qui s’est libéré de toutes parts, qui a rejeté tous ses biens. (Dhammapada)
- Une personne résolue et accomplie est inaltérable comme la terre, droite comme un obélisque, transparente comme un lac sans lie : elle a vaincu l’existence cyclique. (Dhammapada)
- Ceux dont l’esprit est bien entraîné dans les facteurs de l’Éveil, qui dans le renoncement s’émerveillent et refusent de s’attacher, ont purifié leurs scories. Ces êtres lumineux sauront trouver la complète libération en cette vie. (Dhammapada)
- Celui qui commet des mauvaises actions se fait à lui-même le mal que son ennemi lui souhaiterait. (Dhammapada)
- Hâte-toi vers le bien, garde ton esprit du mal. L’esprit de celui qui est lent à faire le bien, se réjouit du mal. (Dhammapada)
- S’abstenir du mal, renoncer aux intoxicants, être vigilant dans le bien. Cela est une grande bénédiction. (Sutta Nipâta, II, 4)
- Si quelqu‘un commet le mal, qu‘il se garde de recommencer. Qu‘il ne s‘y complaise. Douloureuse est l‘accumulation du mal. (Dhammapada)
- Celui dont la méchanceté ne connaît pas de bornes, enlacé par elle, se fera bientôt autant de mal que pourrait lui souhaiter son ennemi. (Dhammapada)
- Le méchant même goûte le bonheur, tant que le mal qu’il a fait n’est point arrivé à maturité. Dès qu’il y est arrivé, le malheur alors fond sur lui. (Suttra, IX)
- Un être malfaisant peut être heureux tant que sa mauvaise action n’a pas mûri, mais quand elle est mûre, le malfaisant connaît le malheur. (Dhammapada)
- Tous tremblent devant le châtiment, à tous la vie est chère. Comparant les autres avec soi-même, on ne doit jamais tuer ou être cause de mort. (Dhammapada)
- Le poison ne peut entrer que par une plaie exposée. Une main indemne peut lui toucher sans peine. Le mal n’affecte pas qui ne l’accomplit pas. (Dhammapada)
- Qu’on se hâte vers le bien ! Qu’on détourne sa pensée du mal ! Si l’on fait le bien paresseusement, c’est que l’esprit se complaît dans le mal. (Dhammapada, IX)
- Celui qui fait du mal à qui ne lui en fait pas, à un homme pur et sans péché, le mal retombe sur celui-là comme une poussière légère jetée contre le vent. (Suttra, IX)
- L’homme de bien même voit le malheur fondre sur lui, tant que le bien qu’il a fait n’est point arrivé à maturité. Dès qu’il y est arrivé, il goûte alors le bonheur. (Suttra, IX)
- C‘est aussi doux que le miel, ainsi pense l‘insensé du mal qui n‘a pas encore porté ses fruits ; mais quand le mal a fructifié, alors l‘insensé vient à en souffrir. (Dhammapada)
- Il est difficile de s’instruire dans la voie, quand on est riche. (Suttra XI)
- Il est difficile de ne pas céder aux passions et de leur tenir tête. (Suttra XI)
- Le désir de posséder est la source de la souffrance. (Dhammapada, Verset 235)
- Ne t’attache pas à ce que tu possèdes aujourd’hui, car tu peux très bien le perdre demain.
- Il est difficile de posséder la richesse et la puissance sans se laisser dominer par elles. (Suttra XI)
- Celui qui cueille les fleurs du plaisir avidement sera surpris par la mort avant d’être rassasié. (Dhammapada)
- Qui ne cherche point à obtenir indûment pour soi ou pour autrui richesse, enfants, pouvoir, profit, est vertueux, juste et pénétrant. (Dhammapada)
- Quelles sont les quatre manières (de pécher) par la parole ? Dire des mensonges, dire de vaines paroles, dire des paroles dures, médire. (Le Suttra, V)
- L’homme, qui s’attache à cueillir les plaisirs comme des fleurs, est saisi par la mort qui l’emportera comme un torrent débordé emporte un village endormi. (Dhammapada)
- Celui qui, soit pour lui, soit pour les autres, ne désirerait ni un fils, ni des richesses, ni la royauté, qui ne préférerait point son intérêt propre à la justice, celui-là serait vertueux, savant et juste. (Dhammapada, VI)
- Ne cédez pas à la non-attention, ne vous laissez pas absorber par les plaisirs des sens. Celui qui est pleinement présent et conscient, absorbé dans sa concentration méditative, découvre un bonheur immense. (Dhammapada)
- Quelles sont les trois manières de pécher par la pensée ? Le désir d’avoir (convoitise ou cupidité), le désir de nuire (haine et envie), l’ignorance qui empêche de croire aux trois joyaux et produit des vues fausses (incrédulité) (Le Suttra, V)
- Il n’est pas de bonheur supérieur à la paix.
- La paix commence avec un sourire. (Sutta Nipâta)
- La pureté est le fondement de la paix. (Sutta Nipâta 372)
- La seule façon d’apporter la paix au monde est d’apprendre soi-même à vivre en paix.
- Celui qui est doux et aimant obtient la paix et le bonheur, même dans cette vie. (Sutta Nipâta, 143)
- Bienheureux les pacifiques qui, évitant la malveillance, l’orgueil et l’hypocrisie, pratiquent la compassion, l’humilité et l’amour.
- La paix intérieure commence dès l’instant où vous choisissez de ne pas laisser les autres ou les événements contrôler vos émotions.
- Délicieuses les forêts que la foule considère sans attrait. Les sereins y trouvent l’exaltation : ils ne courent plus les sensations. (Dhammapada)
- Celui qui cherche la paix doit se livrer à la gentillesse et à la générosité, être capable de s’abstenir de toute violence envers toutes les créatures vivantes. (Sutta Nipâta, 283)
- Tranquilles sont les pensées, les paroles et les actes de celui qui, avec la connaissance juste, est libéré complètement, parfaitement paisible et équilibré. (Dhammapada Sutta)
- Calme est le mental, calme est la parole, calme l’action de celui qui, ayant la parfaite connaissance, est pleinement libre, parfaitement paisible et équilibré. (Dhammapada, VII)
- Semblables à une pièce d’eau profonde, calme et limpide, n’ayant d’oreilles que pour les préceptes de la Loi, les savants vivent dans une sérénité complète. (Dhammapada)
- Ceux qui veulent atteindre la paix savent vivre simplement et heureux. Ils sont en paix, calmes, ont peu de désirs et ne se laissent pas entraîner par les émotions de la majorité. (M
etta Sutta, Sutta Nipâta) - La langue comme un couteau aiguisé tue sans faire couler le sang.
- Il est difficile de garder le silence sur ce qui doit ou ne doit pas être fait. (Suttra XI)
- Mieux vaut une seule parole utile apaisant qui l’entend, que mille discours futiles. (Dhammapada)
- La parole doit être claire et douce, car elle peut pénétrer dans l’âme d’une personne comme une flèche. (Dhammapada, chapitre 3, verset 5)
- Quel que soit le nombre de saintes paroles que vous lisez, que vous prononcez, quel bien vous feront-elles si vos actes ne s’y conforment pas ?
- Il n’existe point, il ne fut jamais, il n’y aura jamais un individu qui est exclusivement blâmé ou loué. (Dhamma-Cakkappavattana-Sutta, Section XVII)
- De même qu’un rocher d’un seul bloc n’est point ébranlé par le vent, de même ni le blâme, ni la louange n’ont de prise sur les savants. (Dhammapada)
- Ne parlez pas cruellement, car vos victimes retourneront ces mots. Les propos colériques sont souffrance, et freinent votre progrès vers le haut. (Dhammapada)
- Si l’on se forme soi-même suivant les conseils qu’on donne aux autres, alors, bien dirigé, on peut diriger autrui. En effet, il est difficile de se maîtriser. (Dhammapada)
- Ne dites à personne des paroles dures, ceux qui les reçoivent riposteront. Pleines de souffrances vraiment, sont les paroles coléreuses. L’échange de coups peut vous meurtrir. (Dhammapada)
- Ceux qui maîtrisent la parole juste ne font offense à personne. Pourtant ils disent la vérité. Leurs mots sont clairs mais jamais violents. Ils ne se laissent jamais humilier, et ils n’humilient jamais personne.
- Ce n’est pas seulement aujourd’hui mais depuis bien longtemps que sont critiqués ceux qui restent assis en silence, et ceux qui parlent avec profusion. Il n’est nul être au monde qui échappe à la critique. (Dhamma-Cakkappavattana-Sutta, Section XVII)
- Mieux vaut un seul mot ayant un sens, que mille mots dépourvus de sens, s’il amène la quiétude chez celui qui l’entend. Mieux vaut un seul vers d’une pièce de vers, que mille pièces de vers dépourvues de sens, s’il amène la quiétude chez celui qui l’entend. Mieux vaut un seul vers de la Loi que la récitation de cent pièces de vers dépourvues de sens, s’il amène la quiétude chez celui qui l’entend. (Dhammapada 100-102)
- Accepte ce qui est, laisse aller ce qui était et aie confiance en ce qui sera.
- Chaque matin, nous renaissons à nouveau. Ce que nous faisons aujourd’hui est ce qui importe le plus.
- Ne demeure pas dans le passé, ne rêve pas du futur, concentre ton esprit sur le moment présent. (Suttra XI)
- Quand tu marches, contente-toi de marcher ; quand tu manges, contente-toi de manger. (Le petit manuel du Bouddha)
- Quelles qu’aient été les difficultés du passé, tu peux toujours recommencer à zéro aujourd’hui. (Le petit manuel du Bouddha)
- Si vous voulez connaître votre passé, observez les conditions de votre vie présente, et si vous voulez savoir comment vous vivrez dans l’avenir, regardez ce que vous faites dans le présent.
- Le secret de la santé mentale et physique est de ne pas pleurer sur le passé, de ne pas s’inquiéter pour l’avenir, ni de s’angoisser au sujet du présent, mais de vivre sagement et sérieusement. (Sutta Pitaka)
- Si vous pleurez sur le passé, regardez les choses en face et prenez du recul. Toutes les erreurs vous paraîtront alors comme de la gelée ou des gouttes de rose qui s’évaporeront rapidement au soleil de la sagesse.
- Il en est comme de l’écho qui suit la voix, de l’ombre qui suit le corps ; ainsi le fruit n’abandonne pas l’acte (non plus que celui qui l’a fait). Qu’on s’abstienne donc des actes pervers et coupables. (Dhammapada VII)
- Le corps est temporaire, la conscience est éternelle. (Sutta Nipâta)
- Qui est plus aveugle qu’un aveugle ? Le passionné. (Dhammapada)
- L’homme est le reflet de ses pensées. (Dhammapada, chapitre 1, verset 2)
- Ce que tu penses, tu le deviens. Ce que tu ressens, tu l’attires. Ce que tu imagines, tu le crées.
- Tout ce qu’un moine poursuit avec sa pensée et sa réflexion, cela devient l’inclinaison de sa conscience.
- Comme un lac profond, limpide et calme, ainsi les sages deviennent clairs, ayant écouté la doctrine. (Dhammapada)
- La pensée est difficile à découvrir, très adroite, courant où il lui plaît. Que le sage la surveille ; surveillée, elle procure le bonheur. (Dhammapada)
- Le bonheur ne dépend pas de ce que vous avez ou de qui vous êtes. Il dépend uniquement de ce que vous pensez. (Dhammapada, Verset 204)
- Quelque bien que puissent se faire soit un père, soit une mère, soit d’autres parents, une pensée bien dirigée en ferait plus encore. (Dhammapada)
- Ce que nous sommes aujourd’hui résulte de nos pensées d’hier, et nos pensées présentes construisent notre vie de demain. (Dhammapada, Verset 1)
- À sa pensée vacillante, mobile, difficile à contenir, difficile à maîtriser, l’homme intelligent impose la même rectitude qu’un faiseur de flèches à une flèche.
- Il est bon de dompter la pensée même si elle est rétive et imprécise, même si elle se promène à sa guise, car domptée, elle mène à la félicité. (Dhammapada)
- L’esprit est difficile à maîtriser et instable. Il court où il veut. Il est bon de le dominer. L’esprit dompté assure le bonheur. (Dhamma-Cakkappavattana-Sutta, Section III)
- Errant au loin, sans corps, sans compagnons cachés profondément, telle est la pensée. Mais ceux qui parviennent à la subjuguer, brisent les chaînes de l’illusion. (Dhammapada)
- Vigilant au milieu des négligents, éveillé au milieu des endormis, l’homme intelligent marche, laissant les autres aussi loin derrière lui qu’un rapide coursier laisse un cheval débile. (Dhammapada)
- Il m’a injurié, battu, vaincu et volé !’ Qu’on s’attache à ces pensées et la haine s’enflammera. ‘Il m’a injurié, battu, vaincu et volé !’ Qu’on se détache de ces pensées et la haine s’éteindra. (Dhammapada)
- Le discernement est la voie de la pureté. (Dhammapada 21:1)
- La pureté est le résultat de l’action juste. (Anguttara Nikaya 10.61)
- La pureté intérieure est la clé de la paix intérieure. (Dhammapada 265)
- La pureté est la fondation de la pratique bouddhiste. (Dhammapada 183)
- La pureté est la force qui soutient la pratique de la méditation. (Digha Nikaya 16)
- La pureté ne se trouve pas à l’extérieur, mais à l’intérieur de soi. (Dhammapada 183)
- Le véritable bonheur réside dans la pureté de l’esprit et du cœur. (Dhammapada 16:1)
- La pureté de l’esprit est la plus grande des richesses et la voie de la perfection. (Dhammapada)
- La pureté est une force intérieure qui nous permet de surmonter toutes les difficultés. (Anguttara Nikaya 10.63)
- La pureté ne consiste pas à éliminer ce qui est impur, mais à ne pas laisser l’impureté entrer dans l’esprit. (Udana 10:34)
- La pureté est l’essence de l’existence. Sans elle, nous sommes impurs, impuissants et malheureux. (Sutta Nipāta 700)
- L’homme se souille par le mal qu’il a fait et il se purifie en l’écartant. La pureté et la souillure sont en lui-même. (Dhammapada)
- Ainsi que l’orfèvre raffine l’argent brut, ainsi, peu à peu et d’instant en instant, l’homme sage se purifie de ses impuretés. (Dhammapada)
- La pureté et la clarté de votre cœur dépendent exclusivement de vous. Personne d’autre ne peut nettoyer votre cœur pour vous. (Dhammapada 22:3
- La pureté consiste à respecter les autres, à avoir une conduite juste et à ne pas faire de mal aux êtres vivants. C’est cela qui rend notre esprit pur. (Sutta Nipāta)
- Quiconque offense une personne pure, innocente et sans souillure, s’expose au retour du mal, comme si l’on avait jeté de la poussière contre le vent. (Dhammapada)
- Les hommes qui n’ont pas mené la vie pure et qui n’ont pas recueilli de richesses durant leur jeunesse, dépérissent comme de vieux hérons près d’un lac sans poisson. (Dhammapada)
- La pureté intérieure n’est pas une question de croyances, de rituels ou de pratiques externes. La pureté intérieure se réalise en étant véridique, honnête, aimant et bienveillant envers soi-même et envers les autres. (Dhammapada 16:1)
- Nous ne sommes pas indépendants, mais interdépendants.
- Rien n’existe jamais tout à fait indépendamment du reste. Tout est en lien avec tout.
- Si les membres de la famille s’aiment tendrement, la maison sera un beau jardin fleuri.
- Quel que soit le lieu où tu vis, il constitue ton temple, pour autant que tu le considères comme tel.
- L’amour bienveillant envers tous les êtres vivants est la véritable religion. (Sutta Nipâta, verset 143)
- Associe-toi aux bonnes personnes, aux meilleurs des hommes et non à ceux faisant du mal ou à l’âme basse. (Dhammapada)
- Celui qui connaît l’unité de la vie voit son propre Soi dans tous les êtres et tous les êtres dans son propre Soi, et regarde tout avec un œil impartial.
- Être patient, être courtois, rechercher la compagnie des sages, parler de la Loi au juste moment. Cela est une grande bénédiction. (Sutta Nipâta, II, 4)
- Comme une abeille, sans nuire à la fleur, à sa couleur ou à son parfum s’envole, emportant seulement le miel, ainsi le sage doit parcourir le village. (Dhammapada)
- Se conduire avec humilité et douceur, être content et reconnaissant, entendre la Loi au juste moment, cela est une grande bénédiction. (Maṅgala Sutta Nipâta, v.265)
- Ne pas s’associer aux sots, s’associer aux sages, rendre hommage à ceux qui sont dignes d’hommages. Voilà quelle est la plus haute protection. (Maṅgala Sutta Nipâta, v.259)
- Ce n’est point sur les transgressions des autres, sur les actions ou les omissions des autres, qu’il doit fixer son attention, mais sur ce qu’il a fait ou omis de faire lui-même. (Dhammapada, IV)
- L’acte de pardonner nous profite d’abord à nous-mêmes puisque nous cessons ainsi de porter le fardeau du ressentiment. Mais nous n’accepterons pas pour autant que l’injustice se reproduise.
- Si un insensé est associé à un homme sage, même toute sa vie, il reste ignorant de la vérité, comme la cuiller ignore le goût de la soupe. Si un homme intelligent est associé même une seule minute à un homme sage, il connaîtra promptement la vérité, comme la langue perçoit les saveurs de la soupe. (Dhammapada)
- Tu ne peux pas voyager sur un chemin sans être toi-même le chemin.
- La liberté vient de la connaissance de soi. (Dhammapada, chapitre 1, verset 80)
- Faciles à voir sont les fautes d’autrui. Difficiles à voir sont les nôtres. (Dhammapada)
- Soyez à vous-mêmes votre propre refuge. Soyez à vous-mêmes votre propre lumière. (Dhammapada)
- Le sot reste inconscient de ses actions mauvaises, mais elles le brûlent comme une braise. (Dhammapada)
- L’insensé qui reconnaît sa sottise est sage en cela. Mais l’insensé qui se croit sage est à juste titre un fou. (Dhammapada)
- Nulle personne extérieure à nous-mêmes ne peut nous contrôler intérieurement. Quand nous savons cela, nous sommes libérés. (Le Petit Manuel du Bouddha de Jack Kornfield)
- On doit s’associer avec celui qui fait voir les défauts comme s’il montrait un trésor. On doit s’attacher au sage qui réprouve les fautes. En vérité fréquenter un tel homme est un bien et non un mal. (Dhammapada)
- Le silence est parfois la meilleure réponse. (Dhammapada, Verset 223)
- Le silence de l’esprit est le plus puissant de tous les sons. (Le Dhammapada)
- Le silence est un ami qui ne trahit jamais. (Dhammapada, chapitre 17, verset 223)
- Délicieux est le silence des forêts que la foule dédaigne. Le sage, vide de passions, y trouvera le bonheur parce qu’il ne recherche pas les plaisirs sensuels. (Dhammapada)
- La pureté ouvre la voie à la vérité. (Anguttara Nikaya 10.103)
- Le don de vérité est un don qui surpasse tous les autres. (Dhammapada)
- Ne crois pas ce que je te dis. Ne rejette pas ce que je te dis. Ce qui restera sera ta vérité.
- Mieux vaut découvrir la vérité suprême un unique jour que vivre cent ans sans la rencontrer. (Dhammapada)
- Si tu ne trouves pas la vérité là où tu es, où crois-tu donc pouvoir la trouver ? (Le Petit Manuel du Bouddha de Jack Kornfield, p. 24)
- Il n’existe pas dans le monde plusieurs vérités différentes, car la vérité est une et identique dans tous les temps et dans tous les lieux.
- Reconnaissant le mal comme le mal, et le bien comme le bien, les êtres qui embrassent les vues justes, vont dans un état heureux. (Dhammapada)
- Un seul jour vécu en comprenant la vérité suprême, vaut mieux qu’un siècle vécu dans l’ignorance de la vérité suprême. (Dhamma-Cakkappavattana-Sutta, Section III)
- Ne vous fiez pas à ce qui a été acquis du fait de l’avoir entendu de façon répétée, ni du fait de la tradition, ni du fait de la rumeur, ni du fait que ça se trouve dans une écriture.
- La vérité est la fin et le but de toute vie et les mondes existent pour accueillir la vérité. Ceux qui refusent d’aspirer à la vérité n’ont pas compris le sens de la vie. Béni soit celui qui fait de la vérité sa demeure.
- Dis la vérité, ne t’abandonne pas à la colère ; donne du peu que tu possèdes à celui qui te sollicite ; par ces trois qualités, l’homme peut se rapprocher des dieux. (Dhamma-Cakkappavattana-Sutta, Section XVII)
- Fiez-vous au message du maître, non à sa personnalité. Fiez-vous au sens, non aux mots seuls. Fiez-vous au message ultime, non au sens relatif. Fiez-vous à votre esprit de sagesse, non à votre esprit ordinaire qui juge. (Kâlâma Soûtra)
- Ceux qui prennent l’erreur pour la vérité et la vérité pour l’erreur, ceux qui se nourrissent dans les pâturages des pensées fausses, ceux-là n’arriveront jamais au réel. Mais ceux qui prennent la vérité comme vérité et l’erreur comme erreur, ceux qui se nourrissent dans les pâturages des pensées justes, ceux-là, arriveront au réel. (Dhammapada)
- Il est difficile de rencontrer un ami de la vertu. (Suttra XI)
- La pureté est la base de toutes les vertus. (Sutta Nipâta 53)
- Le silence est la clé de la connaissance. (Sutta Nipâta, verset 1125)
- Le silence est la porte d’entrée à l’âme. (Dhammapada, chapitre 184)
- Le silence est le fondement de toutes les vertus. (Sutta Nipâta, verset 791)
- Le silence est le meilleur ami de celui qui médite. (Sutta Nipâta, verset 267)
- Le silence n’est pas vide, il est rempli de sagesse. (Sutta Nipâta, verset 1000)
- Le silence est l’arme la plus puissante de l’homme. (Dhammapada, Verset 185)
- La sagesse se trouve dans le silence, non dans le bruit. (Sutta Nipâta, verset 1084)
- Lorsque les paroles sont nombreuses, le sens s’obscurcit. (Dhammapada, chapitre 71, verset 2)
- La véritable sagesse est de voir le monde tel qu’il est, sans illusions ni projections. (Sutta Nipâta)
- La vérité est le chemin, la vertu est le véhicule, la vie est la destination. (Anguttara Nikaya, livre 3, verset 53)
- La patience est la clé de l’évolution, de la force intérieure, de la persévérance et de la sagesse. (Sutta Nipâta)
- La simplicité est la clé de la beauté intérieure, de la clarté, de l’harmonie et de la paix intérieure. (Sutta Nipâta)
- Il est difficile de surmonter l’orgueil qui dit toujours « moi ! ». (Suttra XI)
- Celui qui est libéré de ses pensées rancunières trouvera sûrement la paix.
- Celui qui a écarté la convoitise, la haine et la sottise, ressemble à un miroir frotté.
- La vigilance est le chemin du royaume immortel. La négligence celui qui conduit à la mort.
- Comme revient la poussière jetée à contrevent, il revient au tortionnaire le mal fait à l’innocent. (Dhammapada)
- Vaincs les coléreux par le calme. Les méchants par la bonté. Les avares par la générosité. Les menteurs par la vérité.
- Vraiment la connaissance d‘un insensé le mène à sa ruine. Elle détruit son bon côté en brisant sa tête. (Dhammapada)
- Il en est qui s’emprisonnent dans leur propre filet d’acharnement au plaisir, comme l’araignée dans sa toile. (Dhammapada)
- Ne sous-estime pas le mal en te croyant à l’abri. Une goutte de trop et le seau est rempli. En accumulant les petits maux le sot en est rempli. (Dhammapada)
- Celui qui subjugue les sens, comme un cavalier dompte le coursier, celui qui s’affranchit de la convoitise et l’arrogance même par les dieux est envié. (Dhammapada)
- Ne vous occupez pas des fautes d’autrui, ni de leurs actes, ni de leurs négligences. Soyez plutôt conscients de vos propres actes et de vos propres négligences. (Dhammapada)
- Comme un arbre coupé pousse encore si ses racines demeurent intactes et fortes, ainsi la souffrance jaillit encore et toujours, tant que l’on n’a pas aboli la convoitise. (Dhammapada)
- Il n’existe point en ce monde, ni dans l’air, ni au milieu de l’océan, ni dans les profondeurs des montagnes, d’endroit où l’on puisse se débarrasser du mal qu’on a fait. (Dhammapada, IX)
- Comme la terre, un homme constant et cultivé ne s’offense pas ; il est semblable à un pilier, transparent comme un lac sans limon ; pour lui, le cycle de naissances et de morts n’existe plus. (Dhammapada)
- Facilement vu les fautes des autres, difficiles à voir nos propres fautes ; comme de la menue paille, on trie les fautes des autres, mais on cache les siennes comme se dissimule un habile oiseleur. (Dhammapada)
- Comme un marchand qui transporte d’abondantes richesses et n’a qu’une faible escorte, évite une route dangereuse, et comme un homme qui aime la vie se garde du poison, ainsi doit-on s’éloigner du mal. (Dhammapada)
- Agis et parle avec une pensée malhabile, et la souffrance suit inexorablement, comme le char suit le bœuf. Agis et parle avec une pensée habile et le bonheur suit assurément, comme l’ombre suit le promeneur. (Dhammapada)
- Quand le moment est venu d’être actif et d’agir, quiconque, étant jeune et fort, ne fait pas son devoir, s’adonne à la paresse, se montre faible, apathique, inerte dans sa volonté, celui-là ne trouvera pas le chemin de la sagesse. (Dhammapada Section XX)
- L’harmonie intérieure est la clé de la vie. (Sutta Nipâta)
- La vie est un voyage, pas une destination. (Sutta Nipâta)
- La vie est un miroir, si vous souriez, le miroir vous sourira. (Sutta Nipâta)
- Vis comme si l’instant le plus important de ta vie était le moment que tu vis maintenant. (Les sentences bouddhistes)
- Cent années d’une vie passée dans l’inconduite et la dissipation ne valent pas un seul jour d’une vie consacrée à la méditation et à la pratique du bien.
- Cent années d’une vie passée dans la nonchalance et le manque d’énergie, ne valent pas un seul jour d’une vie vécue avec virilité et énergie. (Dhammapada 110-112)
- La force est l’arme de ceux qui ont tort.
- Ne fais que ce que tu ne regretteras pas.
- La gratitude est la clé de l’abondance. (Sutta Nipâta)
- La réalisation du soi réside avant tout dans la pratique.
- La douleur est inévitable, mais la souffrance est facultative.
- Notre corps est précieux, car il est le véhicule de notre éveil.
- Le chemin n’est pas dans le ciel. Le chemin est dans le cœur.
- Le vrai maître vit dans la vérité, dans la bonté et la retenue, la non-violence, la modération et la pureté.
- De même que le serpent se défait de sa peau, nous devons constamment nous défaire de notre passé.
- Soyez vous-même votre lampe, soyez vous-même votre recours ; ne dépendez pas de quelqu’un d’autre.
- Le bouvier conduit ses vaches à la baguette comme l’âge et la mort conduisent les vivants. (Dhammapada)
- L’homme ignorant vieillit à la manière du bœuf ; son poids augmente, mais non pas sa sagesse. (Dhammapada)
- La base de toutes choses, ce qui préside à l’ordre cosmique, ce qui prédomine en tout, c’est l’esprit. (Dhammapada)
- La pratique de la méditation apporte une tranquillité d’esprit qui permet de voir les choses avec clarté. (Sutta Nipâta)
- Si ceux qui ne sont pas avec nous, ô frères ! Me dénigrent, ou ma doctrine ou le temple, il n’y a guère là motif à votre colère.
- Si un chercheur ne trouve pas un compagnon qui soit meilleur ou égal, qu’il s’engage résolument dans une voie solitaire. (Dhammapada)
- Si le problème a une solution il ne sert à rien de s’inquiéter. Mais s’il n’y a pas de solution, s’inquiéter ne changera rien. (Le Petit Manuel du Bouddha)
- La vie est un défi, relève-le. La vie est un jeu, joue-le. La vie est un rêve, réalise-le. La vie est un sacrifice, offre-le. (Dhammapada, chapitre 23, verset 25)
- Mon action est mon seul bien, mon action est mon héritage, mon action est la matrice qui me fait naître, mon action est ma race, mon action est mon refuge. (Dhammapada)
- De même que, dans une maison dont la couverture est bonne, ne pénètre point la pluie, de même dans un esprit où la méditation habite, ne pénètre point la passion. (Dhammapada)
- Ceux qui, après que la Loi leur a été convenablement enseignée, vivent en s’y conformant, ceux-là atteindront l’autre rive. Difficile à traverser est le domaine de la mort. (Dhammapada)
- Notre maison, nos enfants ne nous appartiennent pas, ni même notre propre corps. Ils nous sont simplement alloués pour un temps et nous devons les traiter avec soin et avec respect.
- Ne te fie pas à l’apparence, c’est souvent trompeur. Ne te fie pas au sourire, il peut cacher une souffrance. Ne te fie pas à la richesse, elle est éphémère. (Dhammapada, chapitre 8, verset 13)
- Le monde est aveugle ; rares sont ceux qui voient. Comme les oiseaux s’échappent du filet, peu nombreux sont ceux qui vont vers le séjour céleste. (Dhamma-Cakkappavattana-Sutta, Section XIII)
- Sois reconnaissant. Même si tu as peu appris aujourd’hui, au moins tu as appris quelque chose. Et si tu n’as rien appris, au moins tu n’as pas été malade. Et si tu as été malade, au moins tu n’es pas mort. Alors sois reconnaissant.
- Ici-bas, comme après sa mort, dans les deux cas, le méchant s’afflige. Il s’afflige, il est tourmenté à la vue de la perversité de ses actions. Ici-bas, comme après sa mort, dans les deux cas, l’homme de bien se réjouit. Il se réjouit, il est heureux, à la vue de la pureté de ses actions.
- Ils se réfugient de multiples façons ceux qui frappés par la peur vont vers les montagnes, les forêts et les sanctuaires, mais ce n’est pas un refuge sûr, ce n’est pas le refuge suprême. Ce n’est pas en allant vers un tel refuge que l’on peut être libéré de la souffrance. (Dhammapada)
- Telle une fleur aux couleurs brillantes, mais sans parfum, tel le langage élégant, mais sans profit pour personne, de l’homme qui n’agit point comme il parle. Telle une fleur aux couleurs brillantes, et parfumées, tel le langage élégant et profitable à tous de celui qui agit. (Dhammapada)
- Celui qui gravit une haute montagne doit nécessairement en descendre. Celui qui dédaigne les autres sera à son tour un objet de mépris. Celui qui méprise l’apparence des autres deviendra laid en retour. Celui qui ravit à autrui ses vêtements ou sa nourriture entrera sûrement dans l’état d’avidité… C’est la loi déterminée des causes et des effets ordinaires.
1) Citations de Bouddha sur l’amour et amitié :
2) Citations de Bouddha sur le bonheur et la joie :
3) Citations de Bouddha sur le changement et se transformer :
4) Citations de Bouddha sur la colère :
5) Citations de Bouddha sur la connaissance :
6) Citations de Bouddha sur la compassion et la générosité :
7) Citations de Bouddha sur les croyances, doutes et opinions :
8) Citations de Bouddha sur les désirs :
9) Citations de Bouddha sur la discipline et la volonté :
10) Citations de Bouddha sur l’esprit et la spiritualité :
12) Citations de Bouddha sur la haine :
13) Citations de Bouddha sur la liberté :
14) Citations de Bouddha sur le mal :
15) Citations de Bouddha sur le matérialisme et le plaisir :
16) Citations de Bouddha sur la paix :
17) Citations de Bouddha sur la parole :
18) Citations de Bouddha sur le passé, le présent et l’avenir :
19) Citations de Bouddha sur la pensée :
20) Citations de Bouddha sur la pureté :
21) Citations de Bouddha sur les relations humaines :
22) Citations de Bouddha sur se connaître :
23) Citations de Bouddha sur le silence :
24) Citations de Bouddha sur la vérité :
25) Citations de Bouddha sur les vertus :
26) Citations de Bouddha sur les vices et défauts :
27) Citations de Bouddha sur la vie :
28) Autres citations de Bouddha
Courte biographie de Bouddha (environ 563 à 483 av. J.-C) :
L’appellation de Bouddha peut référer à plusieurs personnes. Le Bouddha le plus connu est Siddhārtha Gautama, archétype du « Bouddha pur et parfait » (सम्यक्सम्बुद्ध, Samyaksambuddha). Siddhārtha Gautama est un philosophe d’origine princière natif de l’Inde Antique. Il est le fils d’un souverain de la tribu des Sãkya. Son véritable nom était Siddhãrtha Gautama. Le surnom de Bouddha signifie en langue sanskrite « l’Éveillé ». Ses enseignements ont mené à la fondation du bouddhisme, une religion qui comporte des centaines de millions d’adeptes. Bouddha n’a rien écrit lui-même, mais il a tenu de très nombreux discours. La transmission de ses élocutions et de son histoire s’est faite oralement pendant quelques siècles. Les récits de sa vie mélangent métaphysique et légende. Certains épisodes, tel celui où il apaise un éléphant furieux, peuvent être d’authentiques souvenirs historiques contrairement à ses conversations avec les dieux ou sa téléportation instantanée au Sri Lanka. Au fil du temps, une riche légende s’est développée dans les Jātakas. Ceci étant dit, l’existence d’un Gautama-Shakyamuni fondateur du bouddhisme n’est pas mise en doute. Il aurait vécu aux environs du Ve siècle av. J.-C. et serait mort environ à l’âge de 80 ans.
Livres suggérés sur le bouddhisme :
- Le Bouddha dans votre miroir : livre très accessible
- Une introduction au bouddhisme de Nichiren Daishonin : PDF qui résume ce libre
- Et finalement tous les livres de Daisaku Ikeda sont suggérés.
Sujets complémentaires :
- Texte de Bouddha sur la bienveillance, Nipatta Suttra
- Légende : Bouddha refuse de pardonner.
- Texte entier du Dhammapada dans Wikisource, lien externe
- Suttra via Wikisource, lien externe
- L’enseignement du Bouddha, d’après les textes les plus anciens Walpola Rahula, lien externe
- Citations de : Aristote, Marc Aurèle, Confucius, Platon, Socrate et Lao Tseu
Table des matières complète :
- 1) Amour et amitié
- 2) Bonheur et joie
- 3) Changement et se transformer
- 4) Colère
- 5) Connaissance
- 6) Compassion et générosité
- 7) Croyances, doutes et opinions
- 8) Désirs
- 9) Discipline et volonté
- 10) Esprit et spiritualité
- 11) Gentillesse
- 12) Haine
- 13) Liberté
- 14) Mal
- 15) Matérialisme et plaisir
- 16) Paix
- 17) Parole
- 18) Passé, présent et avenir
- 19) Pensée
- 20) Pureté
- 21) Relations humaines
- 22) Se connaître
- 23) Silence
- 24) Vérité
- 25) Vertus
- 26) Vices et défauts
- 27) Vie
- 28) Autres citations de Bouddha
- Sagesse de Bouddha, autre page
- Courte biographie
- Suggestions de lecture
- Sujets complémentaires