75 magnifiques citations de Jules FIAUX

  • C’est en offrant au monde ce que nous avons de mieux que nous nous perfectionnons le plus sûrement.
  • C’est par son activité que l’homme se montre digne de l’existence.
  • C’est pour satisfaire à la loi de son évolution que l’homme, jamais satisfait de ce qu’il a, aspire à ce qu’il n’a pas.
  • Ce n’est pas ce que les hommes sont qui influe sur notre bonheur, c’est le jugement que nous portons sur eux.
  • Ce n’est pas le devoir, mais la volonté de faire le bien qui constitue la vraie moralité.
  • Celui-là manque de dignité qui prétend vivre en parasite du travail des autres.
  • Chez celui que nous aimons véritablement, nous ne discernons plus de mal à condamner.
  • Considérer, remarquer, s’occuper du mal, fût-ce seulement pour le critiquer, c’est s’y attacher et être entraîné par lui.
  • Critiquer est vain, faire mieux mérite davantage notre attention et notre peine.
  • En lui-même un acte ne peut être ni bon ni mauvais, son mobile seul peut être qualifié.
  • En nous attachant aux choses anciennes, nous entravons l’évolution qui cherche la nouveauté.
  • En se livrant au recueillement, l’homme développe sa vie spirituelle dont il perçoit peu à peu la grandeur et la puissance.
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  • Fermez la porte à l’oisiveté et vous verrez entrer le bonheur.
  • Fuis les médisants si tu ne veux leur servir de pâture.
  • Il est difficile de contenter celui qui se répand en désirs.
  • Il est si commode de mettre nos manquements sur le compte de l’impalpable destin.
  • L’amour confère à tous du charme, de la grâce, de la chaleur, de l’épanouissement.
  • L’amour seul et non la loi, donne la force à une union légale.
  • L’envie et la jalousie consomment en pure perte une grande part d’énergie.
  • L’érudition détachée de la pratique n’a pas de valeur.
  • L’expérience a plus de valeur que le conseil parce qu’elle s’adapte mieux à la personnalité de l’expérimentateur.
  • L’expérience exerce le jugement et induit à réfléchir.
  • L’homme habituellement bon et intègre n’admet pas qu’on récompense sa vertu.
  • L’homme qui a peu de besoins a peu de sujets d’être malheureux.
  • L’homme très actif n’a pas de temps à donner à la crainte, aux chagrins et aux soucis.
  • L’indolent discerne autour de lui beaucoup moins de vie que l’homme actif.
  • L’indulgent est celui qui a su écarter de son esprit la sensation du mal.
  • La bienveillance est l’huile si nécessaire pour lubrifier les rouages sociaux.
  • La bienveillance permet de nous adapter mieux à la Société.
  • La clef pour ouvrir les cœurs, c’est la bienveillance.
  • La contradiction est, est plus souvent, une dépense inutile d’énergie.
  • La dignité d’un homme est en proportion de la liberté dont il jouit.
  • La faculté de savoir discerner le bon côté de chaque chose est une qualité rare et exquise.
  • La fierté et la prétention nous préparent mille déceptions, nous isolent et nous placent à l’écart de nos relations.
  • La joie est la manifestation d’une vie plus intense, plus généreuse.
  • La meilleure défense que nous puissions opposer au mal, c’est la pratique du bien.
  • La morale réside dans la bienveillance réciproque.
  • La peur est l’expression humaine de méfiance envers la providence.
  • La peur est le cancer de la volonté.
  • La source de nos satisfactions et mécontentements est en nous-mêmes.
  • La vie est un mouvement perpétuel et alternatif d’égoïsme et d’altruisme.
  • La volonté est toujours chancelante lorsqu’elle n’est pas appuyée par la foi.
  • Le Bonheur est une notion très personnelle. Beaucoup en jouissent sans s’en apercevoir ; la plupart l’ensevelissent sous des pensées sombres et des soucis inutiles.
  • Le doute et la défiance, en nous détournant des recherches de la vérité et du bien, sont souvent des causes d’insuccès.
  • Le malheur est souvent composé de malentendus, de mésintelligences qui auraient pu facilement être évités.
  • Le mécontent est celui qui ne sait pas borner ses besoins à sa capacité de les satisfaire.
  • Le meilleur moyen de détruire le mal est de lui retirer toute notre attention.
  • Le pessimiste est sensible surtout au mal, comme le frileux est sensible surtout au froid.
  • Le principe est que nul n’est sensé ignorer les lois, or, il est de notoriété publique que nul ne les connaît toutes et complètement.
  • Mieux vaut ne pas attendre que les choses tournent à notre gré, faisons-les concourir nous-mêmes à notre but, ce sera plus tôt et sûrement fait.
  • Ne nourrissons notre esprit que des pensées que nous aimerions voir prédominer dans le monde.
  • Non seulement l’argent ne fait pas le bonheur, mais très souvent il est source de malheur en causant la discorde.
  • Notre propre jugement ne peut être préférable à celui d’autrui qu’en ce qui nous concerne personnellement.
  • Notre vie présente est le fruit de notre activité passée.
  • Nous découvrirons toujours de la beauté dans ce que nous considérons avec des yeux affectueux et bienveillants.
  • Nous ne sommes pas seulement dans ce monde pour être, mais surtout pour devenir.
  • On ne peut efficacement aider que celui qui s’aide lui-même.
  • On souffre parfois plus de ce qui pourrait être, que de ce qui est.
  • Par la foi on peut déplacer des montagnes, oui des montagnes de soucis, de préjugés, de tourments et de tristesse.
  • Plus on réduit ses besoins, plus on s’affranchit de la tutelle sociale.
  • Plus un enfant est laissé à lui-même, plus il devient débrouillard, plus il acquiert de présence d’esprit.
  • Pour avancer il faut regarder son chemin, non celui du voisin.
  • Progresser n’est pas autre chose qu’évoluer dans le sens d’un idéal qu’on se propose.
  • Quand le ciel est couvert, sombre, perçons en imagination, la couche des nuages et figurons-nous l’azur lumineux de l’au-delà.
  • Quel avantage retirons-nous de la recherche du mal en autrui ?
  • Qui pourrait tout comprendre, saurait tout pardonner.
  • Rien n’est fixe, tout est transitoire, car dans tous les domaines tout évolue constamment.
  • Seul l’homme actif sait mettre à profit les connaissances accumulées.
  • Si notre attention est constamment portée vers le bien, il dominera notre vie et le mal en sera éliminé.
  • Si nous pensons au mal avec persévérance, il nous atteindra sûrement.
  • Si toutes les individualités se ressemblaient, il en résulterait une uniformité désespérante.
  • Tandis que le travailleur crée, l’oisif ne sait que détruire.
  • Tous les êtres éprouvent des sensations, mais tous varient dans leur façon de sentir.
  • Tout homme devient fort dans la mesure où il croit en sa puissance. En dirigeant constamment nos pensées vers le bien, nous acquerrons la foi et la confiance.
  • Un acte fait partie d’un enchaînement de faits qu’il faudrait tout connaître avant de le juger.
  • Une vie ne peut être conçue dépourvue de toute volonté.
  • Une volonté énergique met en fuite le hasard et la fatalité.

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